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Voir nos départs garantisLe portail, de François Bizot (2000). Le témoignage d’un ethnologue français emprisonné par les khmers rouges en 1971.
L’année du lièvre, tome 1, (2011), de Tian. Cette BD raconte l’entrée des khmers rouge dans Phnom Penh en 1975.
La voie royale (1976), de André Malraux. Un jeune archéologue part piller des temples au Cambodge, une histoire librement inspirée par la propre expérience de l’auteur.
Kampuchéa (2012), de Patrick Deville. L’auteur retrace son voyage au Cambodge tout en nous racontant l’histoire de l’Indochine, de Mouhot à la colonisation française, jusqu’à l’horreur du régime Khmer rouge.
L’élimination (2013) de Rithy Panh (avec Christophe Bataille). Cinéaste et rescapé des Khmers rouges, il raconte sa propre histoire tout en questionnant Duch, l’un des responsables du génocide cambodgien.
Brève histoire du Cambodge (2014), de François Ponchaud. Prêtre missionnaire au Cambodge depuis 1965, l’auteur de Cambodge, année zéro (1977) livre ici un excellent résumé de l’histoire de ce pays.
Le temps des aveux (2014), de Régis Warnier. Adaptation au cinéma du récit autobiographique Le portail de François Bizot.
Toutes les fictions du réalisateur cambodgien Rithy Panh, rescapé des Khmers rouges : Un barrage contre le pacifique (2008), Un soir après la guerre (1998), les gens de la rizière (1994)…
Lara Croft : Tomb Raider (2001), de Simon West. Pour voir Angelina Jolie en héroïne de jeu vidéo dans les temples d’Angkor.
Holy Lola (2004), de Bertrand Tavernier. Un couple, incarné par Isabelle Carré et Jacques Gamblin, part au Cambodge pour adopter un enfant.
S21 La machine de mort khmère rouge (2004), de Rithy Panh. Ce documentaire revient sur la politique d'élimination systématique orchestrée par les Khmers rouges, au Cambodge, entre 1975 et 1979, et plus particulièrement sur le S21, principal "bureau de la sécurité" du régime, où 17 000 prisonniers ont été torturés et exécutés.
Le sommeil d’or (2012), de Davy Chou. Le cinéma cambodgien, né en 1960, a été stoppé en 1975 par l'arrivée au pouvoir des Khmers Rouges. La plupart des films ont disparu et les acteurs ont été tués. Ce film donne la parole à des survivants.